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Portrait de Betty Wright, se son vrai nom Bessie Regina Norris, est une chanteuse américaine née le 21 décembre 1953 à Miami et est morte le 10 mai 2020 dans cette même ville.
Durant son enfance, elle chante avec ses frères dans le groupe de gospel familial, baptisé Echoes of Joy. En 1967, Betty Wright sort le tube « Girls can’t do what the guys do » et fait parler d’elle dans l’industrie du R’n’B. Le tube jouit d’un bon classement dans les charts R’n’B et pop, ce qui ouvre la voie au single suivant « He’s bad bad bad » qui eu d’un très bon accueil.
Avec « Clean up woman » sorti en 1971, Betty Wright connaît l’envol de sa carrière. Le single se vend à plus d’un million de copies et pulvérise les charts R’n’B et pop.
À peine âgée de 18 ans, la jeune chanteuse est désormais classée au haut rang de superstar du R’n’B et de la soul. Entre temps, le talent de Betty Wright sera récompensé par un Grammy Awards, pour « Where is the love ». Elle connaîtra sa première certification or avec son album « Betty Wright live » sorti en 1978.
Au sommet de son art, Betty Wright est désormais considérée comme une des plus grandes chanteuses de sa génération et comme une des plus belles voix de la Black music. Elle jouit d’une grande notoriété et devient très respectée des autres artistes. Elle enchaîne alors les concerts et les tournées, s’ouvrant à un public plus vaste. Parmi ses plus illustres protégées, on cite Jennifer Lopez, Joss Stone, Gloria Estefan ou encore Gwen McCrae.
Œuvre réalisée sur une planche de surf en bois grâce à une technique unique de pochoirs et une superposition de couleurs.
Artiste autodidacte, né en 1971, il grandit en banlieue sud de Paris, dans les années 80 c’est sous l’influence de la culture urbaine qu’il évolue au contact de l’ambiance de la rue, découvrant le mouvement graffiti et hip hop qui se développe dans les quartiers de la capitale , où il passe beaucoup de temps à découvrir et s’inspirer.
C’est la technique du pochoir qui l’attire, pour son efficacité, ses multiples possibilités, son coté militant et poétique, cet outil devient son mode d’expression favoris, qu’il pose depuis sur les murs.
Instigateur et défenseur du mouvement Diversity Is Hope, il utilise ses pochoirs d’où naissent des visages colorés pour diffuser au plus grand nombre un message de diversité, d’espoir et de tolérance, mais aussi un questionnement sur notre capacité de se tourner vers l’autre, et vivre en harmonie.
On peut retrouver son travail sur les murs de nombreuses villes, Paris,Turin, Rome, BCN, Londres, New York, Toronto, Montreal, ainsi que quelques pièces en galerie.
Pour son nouveau projet HOPECYCLING et une exposition personnelle chez MACHA GALERIE LIBRAIRIE, RAF URBAN crée une collection d’œuvres réalisées uniquement sur des objets destinés à la destruction : cartons et autres emballages, fragments de mobilier, toiles de sac de café, plaques de signalisation et d’immatriculation en métal.