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Portrait de Brenda Sykes, actrice américaine célèbre et iconique des années 1970. Sykes est née à Shreveport , en Louisiane , fille d’un postier. Elle est diplômée de la Susan Miller Dorsey High School de Los Angeles en 1967. Elle est actrice américaine.
Sykes a joué l’intérêt amoureux de Jim Brown pour Black Gunn . Selon Brown, il était responsable de son choix dans le rôle, un effort qu’il a fait parce qu’il était attiré par elle dans la vraie vie. De 1973 à 1974, elle a partagé la vedette dans Ozzie’s Girls en tant qu’étudiante en pensionnat avec Ozzie et Harriet Nelson .
Elle a joué le personnage de Mandy, l’une des petites amies de Jimmie Walker dans la sitcom Good Times des années 1970 , a fait une apparition dans le rôle principal de la première saison de The Streets of San Francisco et a joué le rôle de Summer Johnson dans la série Executive Suite de CBS . Sykes a été mariée au musicien Gil Scott-Heron [4] de 1978 à 1987 et est la mère du poète Gia Scott-Heron .”Elle était d’une beauté exquise, douce et raffinée. Il était si plein de feu, et elle était tout le contraire. Elle était l’eau de sa vie”, a déclaré la cinéaste Esther Anderson. Sykes est marié à Paul C. Hudson depuis le 19 mai 1995.
Œuvre réalisée sur un mur en bois grâce à une technique unique de pochoirs et une superposition de couleurs.
Artiste autodidacte, né en 1971, il grandit en banlieue sud de Paris, dans les années 80 c’est sous l’influence de la culture urbaine qu’il évolue au contact de l’ambiance de la rue, découvrant le mouvement graffiti et hip hop qui se développe dans les quartiers de la capitale , où il passe beaucoup de temps à découvrir et s’inspirer.
C’est la technique du pochoir qui l’attire, pour son efficacité, ses multiples possibilités, son coté militant et poétique, cet outil devient son mode d’expression favoris, qu’il pose depuis sur les murs.
Instigateur et défenseur du mouvement Diversity Is Hope, il utilise ses pochoirs d’où naissent des visages colorés pour diffuser au plus grand nombre un message de diversité, d’espoir et de tolérance, mais aussi un questionnement sur notre capacité de se tourner vers l’autre, et vivre en harmonie.
On peut retrouver son travail sur les murs de nombreuses villes, Paris, Turin, Rome, BCN, Londres, New York, Toronto, Montreal, ainsi que quelques pièces en galerie.
Pour son nouveau projet HOPECYCLING et une exposition personnelle chez MACHA GALERIE LIBRAIRIE, RAF URBAN crée une collection d’œuvres réalisées uniquement sur des objets destinés à la destruction : cartons et autres emballages, fragments de mobilier, toiles de sac de café, plaques de signalisation et d’immatriculation en métal.