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KOSKA-SIN n’est pas simplement un tableau, mais une véritable exploration de la perception. Les formes semblent en mouvement, oscillant entre deux dimensions, jouant avec notre regard pour créer des illusions optiques captivantes. Chaque regard dévoile de nouvelles facettes, des profondeurs insoupçonnées qui invitent à la contemplation et à la réflexion. L’œuvre de Victor Vasarely, ne se contente pas d’orner un espace ; elle le métamorphose, elle le sublime. À travers ce tableau, l’artiste nous convie à un voyage au-delà du visible, là où les illusions prennent vie et où chaque regard redéfinit notre perception du monde.
Dans cette œuvre, Vasarely déploie toute sa maîtrise de la géométrie et des couleurs pour créer un dialogue incessant entre l’œil et l’esprit. KOSKA-SIN est une symphonie de formes et de lignes, où chaque élément semble en mouvement, flottant entre deux dimensions, oscillant entre la réalité tangible et l’abstraction la plus pure. Les teintes vibrantes, mêlées à une rigueur géométrique implacable, engendrent un dynamisme visuel qui captive l’œil et l’entraîne dans un jeu incessant de profondeur et de surface.
Le regard se perd et se retrouve, s’égare dans un labyrinthe d’illusions, où les contrastes chromatiques deviennent autant de portes vers des réalités multiples. Chaque observation, chaque instant passé devant cette œuvre, dévoile une nouvelle facette, une nouvelle dimension qui jusque-là échappait à notre conscience. KOSKA-SIN devient alors une expérience, une quête introspective où l’artiste nous pousse à interroger le réel et à embrasser l’incertitude du visible.
Dans un espace, KOSKA-SIN s’affirme comme une pièce centrale, un point de convergence où l’énergie de la lumière et des formes se canalise pour irradier l’environnement. Que ce soit dans un intérieur minimaliste, où elle impose son caractère, ou dans un décor plus chargé, où elle dialogue avec l’ensemble, cette œuvre ne se contente jamais d’être un simple objet de décoration. Elle est le cœur battant d’une pièce, une source constante de fascination et d’inspiration.
KOSKA-SIN, c’est choisir de vivre chaque jour au rythme des vibrations subtiles que cette œuvre émet. C’est s’offrir une fenêtre ouverte sur l’infini, une porte d’entrée vers les territoires inexplorés de l’abstraction. Plus qu’un tableau, KOSKA-SIN est un témoignage vibrant de l’art cinétique, une œuvre qui transcende le temps et l’espace pour s’inscrire dans l’éternité.
Cette œuvre n’est pas seulement une acquisition, c’est une rencontre avec le génie créatif de l’un des plus grands artistes du XXe siècle.
Victor Vasarely invente l’art optique. Pour lui, « la forme pure et la couleur pure peuvent signifier le monde… ». Ses œuvres aux formes graphiques qui suggèrent le mouvement sont exposées dans les plus grands musées d’art contemporain, comme le MoMA de New York, le Reina Sofía de Madrid, la Tate Gallery de Londres ou encore le Guggenheim de Venise.
Né en Hongrie en 1906, Victor Vasarely
entre en 1929 au Muhëly, l’école du Bauhaus de Budapest. Créée par Alexandre Bortnyik sur le modèle du Bauhaus de Dessau, l’école reprend les idées développées en Allemagne par des artistes comme Wassily Kandinsky, Paul Klee ou Josef Albers. Cette influence du Bauhaus sera déterminante. Vasarely découvre le constructivisme et l’art abstrait. Il veut aussi promouvoir un art moins individualiste, qui suit les mutations du monde qui s’industrialise.
En 1930, Vasarely s’installe à Paris. Il est engagé chez Havas, l’agence de publicité, ainsi que chez Draeger, célèbre imprimeur de l’époque, comme dessinateur et créateur. Son travail de graphiste dans ces agences et plus tard chez Dewambez, lui permet d’aborder l’art du graphisme et de l’esthétique « tout en assurant (son) rôle de plasticien ».
Les séjours à Belle-Isle et à Gordes ont été d’une importance capitale. « Belle- Isle, été 1947. Les cailloux, les coquillages sur la plage, les remous, au large les brumes, le soleil, le ciel… dans les galets, dans les morceaux des bouteilles brisées, polis par le va-et-vient rythmé des vagues, je suis certain de reconnaître la géométrie interne de la nature… »
À la manière de Warhol, Vasarely veut rendre l’art accessible au plus grand nombre et réalise des séries limitées de sérigraphies numérotées.