650€
Portrait d’Erykah Badu, née Erica Abi Wright le 26 février 1971 à Dallas (Texas, Etats-Unis), est une chanteuse de soul, hip hop et R&B américaine. Baignée très tôt dans le milieu artistique, elle débute en rappant sur une radio de hip hop locale sous le pseudonyme Mc Apples. Après avoir modifié l’orthographe de son prénom, qui devient Erykah, et opté pour le patronyme Badu, en références aux onomatopées du scat, la chanteuse décide d’arrêter ses études de théâtre pour se consacrer entièrement à la musique. Elle se produit alors avec son cousin Robert Bradford sous le nom d’Erykah Free.
Invitée en première partie d’un concert de D’Angelo en 1994, elle est remarquée par le producteur Kedar Massenburg, fondateur du label Kedar Entertainment. Elle s’installe à New York en 1997 pour y enregistrer son premier album solo, Baduizm , récompensé par deux Grammy Awards et certifié disque de platine à plusieurs reprises. Après l’album Mama’s Gun ( 2000) et un EP, Worldwide Underground (2003), Erykah Badu revient sur le devant de la scène avec New Amerykah.
Portrait réalisé sur une porte de buffet en formica, grâce à une technique de pochoirs unique et superposition de couleurs.
Artiste autodidacte, né en 1971, il grandit en banlieue sud de Paris, dans les années 80 c’est sous l’influence de la culture urbaine qu’il évolue au contact de l’ambiance de la rue, découvrant le mouvement graffiti et hip hop qui se développe dans les quartiers de la capitale , où il passe beaucoup de temps à découvrir et s’inspirer.
C’est la technique du pochoir qui l’attire, pour son efficacité, ses multiples possibilités, son coté militant et poétique, cet outil devient son mode d’expression favoris, qu’il pose depuis sur les murs.
Instigateur et défenseur du mouvement Diversity Is Hope, il utilise ses pochoirs d’où naissent des visages colorés pour diffuser au plus grand nombre un message de diversité, d’espoir et de tolérance, mais aussi un questionnement sur notre capacité de se tourner vers l’autre, et vivre en harmonie.
On peut retrouver son travail sur les murs de nombreuses villes, Paris,Turin, Rome, BCN, Londres, New York, Toronto, Montreal, ainsi que quelques pièces en galerie.
Pour son nouveau projet HOPECYCLING et une exposition personnelle chez MACHA GALERIE LIBRAIRIE, RAF URBAN crée une collection d’œuvres réalisées uniquement sur des objets destinés à la destruction : cartons et autres emballages, fragments de mobilier, toiles de sac de café, plaques de signalisation et d’immatriculation en métal.